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Bonjour à tous,
Des volontaires pour une petite promenade bucolique à VTT ce dimanche ?
JF
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Nouvelle sortie pour le groupe, particulièrement bien garni ce matin : Didier, Rémi, Olivier, Jean-Yves et Odile, Bruno 1 et Bruno 2, Cécile et moi. Un petit tour de chauffe histoire de se mettre en jambes pour 4 d'entre nous.
Départ, direction l'ouest pour retrouver Dom et Anthony. Le rythme est très tranquille, Odile et Jean-Yves mènent le groupe, alors que j'assure les arrières. Dom et JY veulent aller jouer à Mouroux. Du coup, nous allons à Faremoutiers jouer avec les bosses. La première dans les racines, tout le monde s'en doutait. Ensuite, la descente avec la belle marche, pas une grosse surprise. En revanche, l'arbre tombé en travers, lui, est une grosse surprise. D'ordinaire, nous longeons l'Aubetin, mais j'ai repris les rênes de la rando, alors nous remontons. Dom nous impose une de nouveau une belle descente. Tout le monde félicite Cécile d'être parvenue à réaliser l'exercice. L'effet de surprise, et les jambes flageolantes en arrivant en bas.... Et puis, comme mes oreilles n'avaient pas encore assez sifflé, une nouvelle bosse ! Nous mettrons tous le pied à terre sur un gros coup de ---, ça râle en arrivant là-haut, mais tout le monde est bien content de cet enchaînement. J'étais parti pour une nouvelle descente.... J'ai préféré renoncer. Nous dirons que la pendule tournait.
Direction Malvoisine, pas d'arrêt ravito puisque notre kiosque est encore occupé. Un petit chemin à slalomer entre les ornières et puis la surprise du chef. Au lieu de rentrer, direction Touquin par des sentiers inconnus d'un certain nombre de collègues. Petit arrêt ravito (et oui JP, ce matin, les ravitos ne furent pas très nombreux, du moins au début de la rando). Juste avant d'arriver à Touquin, ce petit pont en pierre magnifique pour éviter le passage du gué. Traversée du village, puis retour sur nos chemins briards, bien secs aujourd'hui.
Alors, oui, les chemins sont secs depuis notre reprise, mais la boue est quand même une marque de fabrique briarde. Nous avons donc trouvé (retrouvé plutôt) un magnifique chemin avec de belles ornières, des passages glissants. J'y fais d'ailleurs une belle figure de style sous le regard admirateur de Rémi, avant de faire tout le reste du chemin "tout en finesse", avec un style digne des meilleurs. Comment ça, c'est exagéré ? Derrière, manifestement, ça jardine sévère !
Le bois derrière Saints, à Glatigny, passage dans la fosse pour faire jouer les copains, découverte du menhir de Beautheil pour Bruno 2 et de la princesse Sodoberthe (c'est ça Didier ?). Dans la montée suivante, je ne sais quelle mouche a piqué Olivier, le voici qui part comme un avion. Il me met 10 mètres, mais je stabilise l'écart, avant de le reprendre totalement après être sortis du bois dans ce long passage en herbe. Un peu essouflé quand même par l'exercice. Il est d'ailleurs puni, car il a une crevaison. Il est prêt à monter une chambre, mais je lui propose une mèche. Bonne partie de rigolade (tous les prétextes sont bons) alors que JY et lui essaient de mettre cette mèche dans le peneu. Ca repart. Le long faux plat suivant, Olivier refait la même. Cette fois, je parviens à rester dans sa roue, nous finissons par passer les deux Bruno partis en éclaireurs, Didier et Rémi sont dans nos roues.
Arrivée à la Touche de Beautheil. Exceptionnellement, pas de pause au hangar, nous avons perdu trop de temps avant. Dans la petite bosse herbeuse, bon sang Olivier, arrête un peu ! Et bien non, il remet le couvert. Suivi par Didier..... et votre serviteur. Jean-Yves qui était parti devant suivi par Rémi, les deux copains sont passés, mais restent quand même à portée.
Sur la dernière partie, Olivier se dégonfle encore (son vélo) alors que tout le monde finit un peu dispersé. Au final, je crois que la sortie faisait 40 km, 48 pour moi. Selon les GPS, entre 431 m et 624 m de dénivelé sur mon parcours (compter 60 de moins pour le parcours normal). Disons que 500 doit être à peu près la bonne mesure.
Didier est parti un peu vite, dommage, car Cécile a payé son coup à boire à l'arrivée. J'ai crû comprendre que son compteur à elle aussi avait tourné d'un cran....
Vivement dimanche prochain !!!! Merci les copains pour la sortie. Et ne vous privez pas de vos commentaires surtout....
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Concernant les ravitos la sagesse vient avec l'age ...
Mais comme vous êtes de grands enfants je pense que le naturel reviendra bien vite à mon grand désespoir
Et voici la légende de Sainte Flodoberthe (dont la soeur est aussi une connaissance : Sainte Aubierge) narrée par Wikipédia et sur les indications de Didier
Le menhir porte différents noms : La Pierre-Fitte, appelée aussi Pignon de Sainte-Aubierge ou Pierre de Sainte-Flodoberthe
Sainte-Flodoberthe et sa sœur Sainte-Aubierge construisaient toutes deux leur chapelle respective à Amillis et Saint-Augustin. Sainte-Flodoberthe ayant fini de construire la sienne voulut offrir une belle pierre à sa sœur mais en chemin elle rencontra cette dernière qui venait lui annoncer qu'elle avait elle-aussi achevé son chantier. Sainte-Flodoberthe abandonna alors la pierre sur place. Quant à la rainure, elle aurait été faite par le manche de la quenouille de Sainte-Flodoberthe qui filait tout en marchant avec la pierre sous le bras
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