Les forums de l'ACPB

Salut a tous
encore absent ce dimanche
c'est très bon pour la peau

OK pour demain Anthony et moi.
Bonne soirée

8 h 30 ?

Après une pause ardéchoise, nous voici de retour sur les chemins briards.

Ce matin, se retrouvent Anthony, Bruno, Didier, Olivier, notre monument national Rémi, Tiphanie (et son nouveau vélo), Cécile et moi. Ca pleuviotte, et il fait à peine 4 degrés, bref la Brie en novembre ! A peine 50 m, et retour à la case départ pour regongler le pneu d'Olivier.

Nouveau départ, ça part tranquille, mais pas longtemps ! Rémi a décidé d'allumer les copains ce matin, les uns après les autres. Dans ce long chemin en faux plat particulièrement casse pattes, un groupe se détache devant, tandis que Tiphanie et Bruno forment un second bien en retrait. A la déchetterie, nouvelle séance de gonflage...

Première pause pipi, peu après ! J'en profite pour retirer ma veste imperméable, une cocotte minute ce truc. Si la pluie veut bien nous lâcher... Nous retrouvons Dominique avant le vieux St Augustin.... où nous arrêtons à nouveau, cette fois non pas pour gonfler (enfin si, mais après) mais pour mettre une chambre. En effet, une valve de tubeless sans joint, ce n'est pas terrible. Qui a une pince ? Puis, qui a des démontes pneus ? Puis une séance mémorable d'un Olivier qui cherche à s'essuyer les mains dans l'herbe.... Nous sommes pliés quand il nous dit qu'en guise d'herbe il a choisi les orties ! Pour un peu, il y retournait pour une seconde séance !

Bon, ça repart, nous allons quitter les grandes pistes glissantes et inintéressantes pour rejoindre les petits sentiers tout aussi glissants. Les femmes apprennent ces nouvelles conditions de roulage. Nous comprenons aussi pourquoi, depuis le départ, Tiphanie n'est pas à l'aise sur son vélo. Les pneus doivent être gonflés à 4 kg, la pauvre, en sortant d'un tout suspendu, elle passe sur un vrai rigide !

Nouvel arrêt au pont du Poncet. Plus de temps consacré aux arrêts qu'au roulage ce matin.... Dans la côte qui suit, Tiphanie craque, une douleur à la cuisse, elle finira à pieds, et nous abandonnera peu après, laissant Cécile seule parmi la meute ! Direction la gare de Faremoutiers, la Celle sur Morin que nous remontons, non sans mal, puis la plaine via Courbon. Rémi provoque un peu Didier, qui le calme rapidement, tandis que j'attends ma douce moitié. Au sortir de Courbon, le chemin est désagréable, ça colle aux pneus, il était temps que la section termine. Bruno commence à accuser le coup, la fin lui sera difficile. Un souci technique pour Anthony également, dont la batterie semble dysfonctionner. Du coup, il nous abandonnera à son tour dans la forêt. Je n'y pense que maintenant, j'avais pensé à lui proposer de venir le récupérer dans l'après-midi pour venir récupérer sa voiture, je ne m'en suis pas rappelé enfoncé dans mon canapé cet après-midi.... Ah oui, à l'entrée dans la forêt, notre sacré Olivier nous annonce qu'il doit être à midi à Liverdy. Je crois me rappeler qu'il est alors très largement 11 h 30.....

Dans la forêt, parce qu'il faut quand même bien la traverser, un secteur délicat et boueux nécessitant un minimum de technique pour le passer correctement, ça se finira par une chute de Cécile. Il paraît que c'est bon pour la peau !

Arrêt traditionnel (mais rapide) sous la petite tonnelle le temps que le groupe se reconstitue, et que nous puissions observer un autre groupe presqu'exclusivement féminin de marche nordique. Allez, ça repart, au plus court, sans Dominique cette fois, qui sans doute préfère rester avec ce groupe bien sympathique. La grande piste, nous sommes trois, Didier, le malin Olivier et moi. Olivier se laisse décrocher quand j'accélère, Didier reste joueur, avant de lâcher. Je pensais en avoir fini et relâche l'effort, et là, Olivier avec son style inégalable et son sens tactique qui gagne presqu'à chaque fois, nous mettra d'accord Didier et moi ! Bien joué !!!

La route, puis Paradis, doucement sur le pont. Nous abordons avec Olivier la côté sur la route, j'essaie de mettre Olivier en pression, je connais l'animal. Les autres ne sont pas très loin, je ne me retourne pas. Rémi me rejoint, je sais pourquoi, nous nous calons sur le même rythme et là, Olivier nous refait le même coup de nous passer, pensant que nous étions à notre maxi. Loupé bonhomme ! Je lui en remets une couche, et les laisse tous les deux sur place. Tu m'as surpris tout à l'heure avec Didier, une fois c'est bon !

Tranquille dans la traversée de Saints, Bruno est de plus en plus en peine. Sur la route en direction de Beautheil, dans la petite bosse, Rémi me surprend conservant une belle vitesse. Seul Didier parviendra à le reprendre et restera avec lui dans cette grande ligne droite. Pour ma part, j'attends longuement Olivier et Bruno afin de leur permettre de prendre ma roue. Quand ils me rejoindront, ils ne parviendront pas à tenir le rythme. Manifestement, la sortie commence à se sentir dans les cuisses.  La suite jusqu'à La Touche me confirmera cette analyse. Au tour de Didier, à Beautheil, de rentrer direct. Et oui, les multiples arrêts nous ont mis largement en retard.

A La Touche, nous voyons Tiphanie qui nettoie son VTT, c'est bon, elle est bien arrivée. Retour bien tranquille, car plus personne n'a envie de jouer. Bruno a sa dose, Cécile est contente d'en finir aussi. 41 km pour 350 m (pas terrible le dénivelé, mais les conditions boueuses compensent).

Et comme toujours, super ambiance en dépit des conditions météo hivernales.

Les copains, à vous de vous saisir du clavier !

Bonjour a tous,
a lire ces récits, une chose m'interpelle. "les bains de boue", "c'est bon pour la peau" n'y aurait-il pas quelque chose de plus pertinent dans ces propos?
au plaisir de retrouver un terrain plus sec

On est tout sec de cet été alors forcement... On soigne notre peau en hiver.
Bon, il y en a qui mettent plus de cœur à l'ouvrage que d'autre et on les-dits... maladroits.
En fait, ils sont juste plus attentifs à... la qualité de leur peau

Sacré Thierry ! Reviens-nous en pleine forme, mais pas de doute là-dessus. Si en plus, tu peux nous épater dans le technique.....

Alors le journaliste à oublié Franck, même si il nous a quitté au Poncet.

Dans la forêt, je n'ais pas pris les roue comme l'habitude, j'étais au centre et j'en ai Ch;;;er pour suivre votre cadence.
Dans la montée je me suis attardé à vous suivre et une fois que je vous set retrouvé, effectivement je n'avais plus la moelle pour un second effort (Bravo les filles). 

Pour Thierry, nous sommes donc rentrée humide à l'extérieur mais sec à l'intérieur.
Jean-François ma même dit en me voyant enlever mes sur-chaussure (ta l'air cuit) 

toujours la bonne ambiance
bonne soirée à tous.